AlgiScan

« Ce qui n’est pas défini ne peut être mesuré. Ce qui ne peut être mesuré ne peut être amélioré » (Peter Drucker / William Thomson). Il est essentiel de surveiller et, par conséquent, de mesurer l’intensité de la douleur afin de la quantifier et de la traiter de manière appropriée. Si nous pouvons moduler l’ampleur de la douleur, nous pouvons également prévenir la douleur et même réduire les besoins en analgésiques pendant ou après une opération. L’AlgiScan s’est avéré être un moniteur qui répondait à plusieurs de ces objectifs dans la pratique clinique. »

« Dans la pratique courante, nous rencontrions souvent des patients pédiatriques qui se réveillaient très agités après l’anesthésie, alors qu’ils étaient censés bénéficier d’une analgésie peropératoire ou post opératoire adéquate. Ce qui m’a séduit avec l’AlgiScan, est sans aucun doute, la simplicité, la portabilité (il tient dans la poche de la blouse) et la manipulation extrêmement facile et intuitive. Avec l’aide de l’AlgiScan, nous avons à présent la capacité de prédire la profondeur d’analgésie du patient pédiatrique avant tout stimulus nociceptif. »

« J’ai observé qu’en réanimation neurochirurgicale, chez les patients cérébrolésés, les patients présentaient tous des scores PPI très bas. Autrement dit, ils recevaient une dose excessive de morphiniques par rapport à leurs besoins analgésiques. L’intégration du PPI permettrait de mieux ajuster les doses de morphiniques, afin de garantir une analgésie optimale sans excès. La mesure du PPI peut être une méthode pour objectiver la nociception. Le PPI permet de relier un état d’agitation à un véritable manque d’analgésie. »