« Nous utilisons les ToFscan principalement pour les patients post-opératoires transférés en réanimation ou en soins continus, et plus rarement pour des patients de réanimation lorsque nous réalisons une curarisation de courte durée pour effectuer un acte thérapeutique ou diagnostique, comme une fibroscopie bronchique. Nous ne l'utilisons pas encore pour le monitorage de la curarisation à long terme, par exemple dans les cas de SDRA, mais cela pourrait évoluer à l'avenir. Votre matériel était déjà connu et utilisé dans d'autres établissements où j'ai travaillé. De plus, il est relativement simple d'utilisation et semble fiable, ce qui nous a convenu. Le bénéfice attendu du ToFscan est de réduire la durée de l'anesthésie et de la ventilation contrôlée, et de connaître précisément le moment de la décurarisation du patient. »

« La particularité du NeuroLight, c'est qu'il dispose d'un cache permettant de placer la pupille dans une ambiance lumineuse standard, donc complètement noire, ce qui est crucial pour étudier le réflexe photomoteur. Il a été démontré que l'absence de ce cache de certains dispositifs, exposant la pupille à la lumière ambiante de la journée, pouvait altérer ou modifier les paramètres que l'on souhaite évaluer. L'intérêt du pupillomètre avec cache réside dans sa capacité à fournir une mesure fiable et répétitive, permettant de suivre les patients et de se détacher de l'évaluation manuelle traditionnelle, comme l'utilisation de la réglette, du stylo lumineux ou du smartphone. Cela garantit une évaluation précise de la taille pupillaire et du réflexe photomoteur. »

« Le ToFscan doit ses performances en grande partie à son capteur 3D-AMG. Issu des dernières technologies en matière de microsystèmes électromécaniques, ce capteur incorpore un accéléromètre capable de fournir une mesure du mouvement quelle que soit la direction de celui-ci. Un algorithme particulier a été développé à cet effet. Il s'agit de trouver la direction principale du mouvement et de mesurer son amplitude maximale à chaque stimulation. Ainsi, même si la position du capteur n'est pas optimale et que le pouce fait un mouvement de "travers", la mesure sera adaptée pour optimiser la qualité du résultat. En cas de parasite extérieur, les mesures ne peuvent pas être "à moitié justes" comme sur un capteur analogique. Elles restent toujours bonnes, ou tout simplement non transmises. Il n'y a pas de niveau intermédiaire. Ce mode de fonctionnement est fondamental pour la confiance que l'utilisateur attend d'un monitorage. »

« Ce qui n’est pas défini ne peut être mesuré. Ce qui ne peut être mesuré ne peut être amélioré » (Peter Drucker / William Thomson). Il est essentiel de surveiller et, par conséquent, de mesurer l’intensité de la douleur afin de la quantifier et de la traiter de manière appropriée. Si nous pouvons moduler l’ampleur de la douleur, nous pouvons également prévenir la douleur et même réduire les besoins en analgésiques pendant ou après une opération. L’AlgiScan s’est avéré être un moniteur qui répondait à plusieurs de ces objectifs dans la pratique clinique. »

« Dans la pratique courante, nous rencontrions souvent des patients pédiatriques qui se réveillaient très agités après l’anesthésie, alors qu’ils étaient censés bénéficier d’une analgésie peropératoire ou post opératoire adéquate. Ce qui m’a séduit avec l’AlgiScan, est sans aucun doute, la simplicité, la portabilité (il tient dans la poche de la blouse) et la manipulation extrêmement facile et intuitive. Avec l’aide de l’AlgiScan, nous avons à présent la capacité de prédire la profondeur d’analgésie du patient pédiatrique avant tout stimulus nociceptif. »

« J’ai observé qu’en réanimation neurochirurgicale, chez les patients cérébrolésés, les patients présentaient tous des scores PPI très bas. Autrement dit, ils recevaient une dose excessive de morphiniques par rapport à leurs besoins analgésiques. L’intégration du PPI permettrait de mieux ajuster les doses de morphiniques, afin de garantir une analgésie optimale sans excès. La mesure du PPI peut être une méthode pour objectiver la nociception. Le PPI permet de relier un état d’agitation à un véritable manque d’analgésie. »

« Lors de la mise en place des circuits pour gaz MEOPA par la société IDM médical, nous avons été accompagnés par les personnes de cette société pour le choix des DM en fonction des services, ainsi que pour la formation du personnel à leur utilisation. Il s’agit d’une gamme de circuits tout à fait adaptés aux différentes indications avec des particularités spécifiques qui nous aident beaucoup, surtout lors de l’usage chez les petits enfants (indications les plus fréquentes). »

« Nous avons commandé des curamètres TOFSCAN à la société IDM médical, non seulement la livraison a été très rapide (48h après la commande les TOFSCAN étaient dans le service), mais la présence d’un technico-commercial, qui nous a parfaitement formé à l’utilisation de ce nouveau curamètre, nous a permis d’être très vite opérationnels avec ce matériel et très performants dans le monitorage des curares car le TOFSCAN s’avère précis, fiable, facile d’utilisation et tout à fait adapté à nos pratiques. »

« Nous avons connu IDM médical  « grâce » à une rupture de stock chez un de nos fournisseur sur une référence indispensable à nos anesthésistes-réanimateurs. Nous avons sollicité IDM médical , qui nous a livré au pied levé et qui nous fournit depuis très régulièrement à un tarif beaucoup plus intéressant pour nous ! Parfois le hasard fait bien les choses … »

« Nous nous félicitons d’utiliser le guide long béquillé malléable – S-Guide de IDM médical, pour l’intubation avec nos vidéo-laryngoscopes. Il permet de former la sonde pour faciliter sa mise en place, d’oxygéner le patient pendant l’intubation et surtout d’éviter le risque traumatique souvent inhérent à ce type d’intubations. »

« Nous travaillons depuis quelques temps avec la société IDM médical  (nouveau marché 2018) pour la réparation et le remplacement des curamètres TOFSCAN. Nous sommes très satisfaits de leur rapidité d’action et de leur efficacité au niveau du SAV, ce qui nous manquait pour des appareils sensibles utilisés tous les jours au bloc opératoire. »